mentirCette semaine, lors d'un souper copieux organisé par Médias Transcontinental, un annonceur me confiait qu'il avait mandaté un fournisseur pour s'occuper de ses campagnes par moteur de recherche (SEM). Sachant que j'œuvrais dans le domaine, il m'a alors demandé s'il était normal de payer 25% de son investissement média en frais de service.

Je ne connais pas les détails (confidentiels) de l'entente en question, mais au risque de vous surprendre, pour ceux qui ne le furent pas en voyant la commission de 25% (ce billet s'adresse à vous), la moyenne de l'industrie est de 15%. Pas à 25%, ni à 20%, la tarification de base est à 15%.

Il y a quelques jours, j'écrivais le billet La majorité des annonceurs et éditeurs ne suivraient pas les standards IAB. Pour vous faire une histoire courte, ce billet racontait que très peu d'annonceurs et d'éditeurs suivaient les standards IAB (Interactive Advertising Bureau). La grande majorité osaient aller plus loin que ce standard minimum. Merci d'ailleurs pour la contribution de Martin Ouellette, Claude Marchand et Francois Haguel pour avoir alimenté le débat.

Quoiqu'il en soit, je me retrouvais en mandat client cette semaine et je faisais le tour des éditeurs afin de leur faire approuver un format hors norme IAB. L'ouverture des éditeurs était assez bonne, sauf pour un site. Les dirigeants du site en question étaient catégoriques: si ce n'est pas IAB, ce n'est pas kasher, on en veut pas.

Que ce soit un compétiteur, un partenaire, un éditeur ou un fournisseur, nous tentons le mieux possible nous entraider dans ce merveilleux monde de l’Internet, les ressources sont très rares. Sur ce, je passe le mot sur un emploi disponible actuellement dans l’industrie.

Poste:  Spécialiste en optimisation de moteurs de recherche
Poste permanent à temps complet

Un article dans la revue l'Actualité a attiré mon attention aujourd'hui (vol. 32, no 20, page 92). Particulièrement l'image suivante qui recense la francophonie canadienne hors Québec. Ils en dénombrent 3 branches, soit les francos de souche, les canadiens dont le français n'est pas la langue maternelle mais qui la maîtrisent bien, et les immigrants de pays francophones. Pourquoi cet intérêt personnel ? Car les publicitaires et annonceurs québécois pensent généralement qu'aux francos du Québec lorsqu'ils désirent rejoindre la communauté francophone, et non ceux des autres provinces. Les raisons sont multiples et discutables, cependant serait-ce une négligence importante de ne pas considérer ces francophones hors Québec ?

imageJérôme Plantevin, journaliste spécialisé en technologie au journal Les Affaires, nous a fait remarquer en août dernier que le trafic, la portée et le nombre de pages vues de Tetesaclaques.tv étaient en chute libre depuis la fin du mois de mars, selon Alexa.com et Compete.com, deux sites qui quantifient le trafic des sites internet de la planète et fournit des rapports de fréquentations détaillés. Je ne peux malheureusement comparer ces chiffres avec comScore Mediametrix sans me faire menacer de poursuite, cependant voici une mise à jour des sources utilisées par Jérôme.

Mon service de newsletter semble avoir des problèmes techniques. Je vous reviens le plus rapidement possible avec une solution. Je vous remercie de votre patience....

search_engine_marketing Dernièrement, un lecteur me partageait son désarroi par rapport aux récents déboires qu'il éprouvait envers l'un de ses fournisseurs. Après avoir mit fin au contrat de service qui le liait à l'entreprise de services en publicité par moteurs de recherche, cette dernière aurait catégoriquement refusé de transmettre les  documents source du client. La raison invoquée par le fournisseur ? Les fichiers source seraient selon lui la propriété du fournisseur, non du client. Les documents source des moteurs de recherche sont l'équivalent des documents Photoshop (PST), Illustrator (EPS) ou Flash (FLA) pour les publicités par affichage. L'impact provoqué par cette décision est considérable pour le client. Après des semaines intensives de travail, il doit reconstruire sa liste de mots-clés, les adresses (URL) associées, les textes publicitaires, se recréer une historique de compte. Bref, tout recommencer à zéro. Comment éviter que cela vous arrive ? Quelles que soient les intentions motivant le fournisseur d'agir de la sorte, voici quelques conseils afin d'éviter que cette situation vous arrive: