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Je vais peut-être me mettre quelques personnes à dos, mais pourquoi ai-je souvent l’impression de m’être fait avoir quand je reviens d’une conférence Infopresse ? image Les conférences Infopresse auxquelles j’assiste depuis des années me font penser à un “craving” de McDo. Le BigMac semble appétissant mais après l’avoir englouti je regrette de l’avoir fait parce que ce n’était pas si bon que ça.  Et malgré la déception, étrangement, je finis toujours par retourner au McDo. Alors je me console généralement en me disant que c’était tout de même une belle occasion de faire mon “PR”, rencontrer de nouvelles personnes, d’autres confrères, échanger sur des enjeux d’industrie, etc. Mais encore, pour revenir à ma métaphore, c’est comme dire que le BigMac n’était pas si bon que ça mais que je me suis tout de même bien amusé dans le parc de jeux pour enfants. La différence notable entre McDo et les conférences Infopresse, c’est le prix. Hier le prix avoisinait 500$ par tête, certaines autre fois autour de 350$-400$. Je suis totalement en accord qu’il faille payer la salle, le staff, la bouffe et “certains” conférenciers, mais je suis perplexe que 350 000$ fut amassé pour livrer un produit de si piètre qualité. En fait, j’en veux surtout aux panelistes, aux modérateurs et aux organisateurs de ces conférences. Parmi les conférences auxquelles j’ai assisté hier:

Je trouve toujours curieux et décevant que les éditeurs ne demandent pas à leurs abonnés courriels pourquoi ils se désabonnent de leur bulletin électronique (newsletter).

En tant que planificateur média, une partie de mon travail revient souvent à accroître la base de données courriel. Mon travail est jugé sur l’acquisition, le coût par acquisition et le taux de rétention. Pourtant, je remarque fréquemment qu’aucun effort n”est déployé en vue de comprendre pourquoi les abonnés se désinscrivent.

En quelque sorte, je vois cela comme une relation amoureuse. C’est comme ne pas demander à son conjoint la raison pour laquelle il met fin à la relation. “Ah, tu me quitte ! D’accord, j’espère que tu parleras de moi en bien”.

Fin de l’analogie. Est-ce parce que l’abonné n’est pas satisfait du contenu, de la fréquence (j’ai bien dit que l’analogie était terminée!), ne se rappelle pas s’être inscrit, croit que son adresse couriel a été revendu à une autre base de donnée ou encore est-ce une question de crainte sur la protection de la vie privée. Et bien une étude s’est penchée sur le sujet!

Je désirais vous partager ce matin le résultat d’une étude conduite par Anderson Analytics qui a analysé la popularité des réseaux sociaux Facebook, MySpace, Twitter et Linkedin par génération.

Cela peut être utile pour certains d’entre vous qui planifiez des campagnes promotionnelles sur ces réseaux sociaux et qui doivent combattre la perception des clients qui croient que ces réseaux ne rejoignent que les jeunes.

Je vous partage un article déniché sur le NYTimes.com. Je commence à devenir accro de ce site, une vraie merveille. Quoiqu’il en soit, cet article révèle la maquette de la future page d’accueil de Yahoo. Il n’est pas surprenant d’apprendre que Yahoo suivra la tendance du marché, soit d’intégrer les Facebook / MySpace / Gmail / eBay et autres applications web très utilisées. Plusieurs autres sites le font déjà, mais ok .. ok .. très peu de portails. Faut leur donner le mérite. Toutefois, ça m’agace un peu cette nouvelle. Quoique je comprenne l’intention, soit de créer un “one-stop-shop” de nouvelles / divertissement / communication visant augmentera le temps passé sur le portail, le nombre de pages vues (impressions publicitaires) l’engagement, etc, j’ai l’impression qu’on capitalise sur des produits non-exclusifs qui pourront facilement se répliquer ailleurs (soit chez les compétiteurs). Mais bon, je dois réfléchir à tout ça, entretemps bonne lecture !

En collaboration avec Tourisme Suroît, je donnais cet avant-midi une conférence-formation sur la publicité Internet.

On y retrouvait bien entendu des données sur la pénétration d’Internet au Québec, par région, par groupe d’âge, etc. Mais j’ai surtout voulu me concentrer à former ces entrepreneurs et gestionnaires touristiques à bâtir eux-mêmes leurs campagnes Facebook et Google.

La plupart d’entre eux n’ont pas les budgets pour intéresser les grandes agences de renom, alors peine perdu de leur dire qu’il faut être sur le web (quoique …). Leur intérêt est plutôt axé sur le COMMENT.

Bien entendu, 1 heure n’est pas suffisant pour maîtriser tous les rudiments de ces deux sites, mais suffisant pour leur faire réaliser qu’il n’est pas si difficile de lancer une campagne sur le web.

Cette conférence était donnée dans le cadre du lancement officiel de la saison touristique 2009-2010 de Tourisme Suroît.

Pour ceux qui étaient présent, voici la copie de la présentation. Pour ceux qui ne l’étaient pas, et bien .. faut m’engager car cette copie ne vous sera pas très utile car l’essentiel était dans le discours. Mais peut-être vous y retrouverez des éléments intéressants.

imagePour le lancement officiel de la saison touristique 2009-2010 de Tourisme Suroît , je donnerai demain une conférence auprès de plusieurs acteurs de région.

Courte présence (1 heure), mais mon objectif, outre celui de leur faire réaliser le potentiel de publicité Internet,  est de former ces entrepreneurs et gestionnaires touristiques à bâtir eux-mêmes leurs campagnes Facebook et Google. Bien entendu, 1 heure n’est pas suffisant pour maîtriser tous les rudiments de ces deux sites, mais suffisant pour leur faire réaliser qu’il n’est pas si difficile de lancer une campagne sur le web.

Voici un aperçu des sujets qui seront abordés: