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C’est déjà vendredi ! Et comme à chaque vendredi, voici le Espresso Allongé, la pause détente qui saura vous divertir, vous fera peut-être découvrir certaines nouveautés ou vous rappeler quelques souvenirs.

Cette semaine, voici deux publicités qui se démarquent … à leur façon… et qui ont su attirer mon attention… à leur façon !

eyetracking-googleJ’adore lire le journal Les Affaires, surtout quand les journalistes parlent d’Internet (rire), mais je déteste quand des inexactitudes se glissent dans les textes.

Je suis tombé ce matin sur un intéressant article de Olivier Schmouker. Le sujet: Comment sont vues les pubs sur Google ?

Rien de nouveau pour les spécialistes en publicité Internet, mais on y apprend essentiellement que selon une des diverses études d’oculométrie (eye tracking) sur le sujet, les liens commerciaux Google soit moins regardés que les résultats naturels.

Il y a plusieurs subtilités à l’étude, je vous invite à consulter les résultats complets de Miratech ou encore cette autre étude plus connue conduite en 2005

INEXACTITUDES DE L’ARTICLE

Que ce soit les conclusions du journaliste ou de Miratech (je ne suis pas certain),  il est faux de croire que les annonceurs payent plus cher pour occuper la première place de la liste.

La réalité est qu’il est fort possible que l’annonceur se retrouvant en première position paye moins cher que celui en 2e et 3e position.

imageUn billet déniché sur le blogue de Touché!PHD qui traite de la pertinence de la récente initiative payante de La Presse, soit de rendre le journal disponible en version électronique. De mon côté, je n’y vois aucune valeur ajoutée autre que la mobilité du journal et la possibilité d’acheter une copie d’archives. Mais bon, peut-êtr e que LaPresse connaîtra un sort différent que celui du défunt Journaldemontreal.com qui avait déjà fait une tentative il y a quelques années mais avait finalement fermé le site. Ce que je me pose comme question est si ce nouveau mode de distribution fut adopté par pression des lecteurs/abonnés. Et vous, qu’en pensez-vous de tout ça ?

Deux questions que je me pose depuis très longtemps:
  1. Pourquoi les éditeurs refusent de dévoiler le nombre d’impressions publicitaires livrées dans une campagne basée au coût par clic ?
  2. Pourquoi ne veulent-ils pas que cette publicité au coût par clic soit livrée par un serveur publicitaire client ?
Je n’arrive pas à comprendre. Lorsque je pose la question aux éditeurs, la réponse reste toujours évasive. Je commence sérieusement à penser qu’ils ont quelque chose à cacher.

Cette semaine, un éditeur avec lequel j’ai conclu une entente basée sur un achat d’inventaire invendu (à rabais) m’avise que si je ne lui remets pas le matériel dans un délai de 5 jours avant le début de la campagne (selon le contrat) que je serai pénalisé pour mon retard.

Pour ceux qui n’étaient pas encore au courant, depuis 1er mars 2008, IAB Canada (Internet Advertising Bureau) a officiellement normalisé les modalités et politiques sur les documents créatifs en retard pour la publicité sur Internet pour les achats dans les médias.

Voici le meilleur de ce blogue du mois d’avril 2009, les billets qui ont suscité le plus d’intérêt chez les lecteurs. L’importance du positionnement publicitaire illustré Vous serez peut-être surpris d’apprendre.que la majorité des internautes ne sont pas exposées à vos  publicités Internet. Et pourtant, vous...