Source: Normand Miron, Pizza4All
Hier, l'ami Mitch se posait la question. Effectivement depuis la première bannière parue sur le site de Wired voilà 14 ans (voir la photo de ce billet), il s'est brisé beaucoup de sucre sur son dos. Tout d'abord gros hyperlien coloré (difficile de demander plus à gif de 5k mesurant 468X60 (on parle ici de pixels, pas de mots!) au fil du temps et de l'évolution de la technologie (bande passante, flash, processeur), celle-ci a pris un peu plus d'assurance.
C’est déjà vendredi ! Et comme à chaque vendredi, voici le Espresso Allongé, la pause détente qui saura vous divertir et peut-être vous rappeler quelques souvenirs.
L’inspiration de cette semaine provient du lancement de la nouvelle campagne électorale.
Vous rappelez-vous de la célèbre citation de John Wanamaker:
Half the money I spend on advertising is wasted; the trouble is I don't know which half.Je me suis remémoré cette citation à plusieurs reprises au courant des derniers jours. Je travaille actuellement sur plusieurs dossiers 2009 et je réalise à quel point plusieurs gestionnaires marketing se sentent désarmés par rapport à la mesure de la performance de certains de leurs placements publicitaires et ne ignorent complètement quelle moitié de leurs efforts marketing est vouée à la perte.
Source: Ressac Média, Andres Restrepo
Afin de rendre le Quality Score plus précis et donner aux annonceurs des meilleurs outils pour améliorer cet indice de performance Adwords a implémenté jeudi passé l’évaluation dynamique de son Quality Score.
La communauté « Search Marketing » a accueilli favorablement ce changement et il voit l’initiative mise de l’avant par Google comme un pas de plus vers une plus grand transparence du système.
Plusieurs facteurs permettent de déterminer le Quality Score d’une annonce « Pay-Per Click (PPC) » sur Google Adwords incluant le CTR et la pertinence existant entre vos annonces (la réponse) et les requêtes effectuées par les usagers (la question).
C’est déjà vendredi ! Et comme à chaque vendredi, voici le Espresso Allongé, la pause détente qui saura vous divertir et peut-être vous rappeler quelques souvenirs.
L'inspiration de cette semaine provient du lancement du fureteur de Google, Google Chrome.
Les revenus des régies publicitaires seraient en hausse de 50% si on en croit une étude conduite par Interactive Advertising Bureau (IAB) et Bain & Company (2006 à 2007).
Selon une autre étude que j'avais traité dans un récent billet, 40% des annonceurs interrogés planifient d’investir au moins 10% de plus cette année auprès des régies publicitaires.
Qu'est-ce qui poussent les annonceurs à accroître leurs investissements auprès des régies, au détriment des portails et sites spécialisés ? Selon l'étude effectuée par les 2 entreprises, voici les 2 principales raisons:
Je me suis fait posé cette question des dizaines de fois au cours des dernières années. Que ce soit par Air Canada, la Banque Laurentienne, le Cirque du Soleil, Maybelline New York, Mastercard, etc. Dites-vous que même (et surtout) les grandes entreprises sont encore incertaines par rapport au pourcentage de leur budget média qu'ils devraient investir en publicité sur Internet.