En collaboration avec Tourisme Suroît, je donnais cet avant-midi une conférence-formation sur la publicité Internet.

On y retrouvait bien entendu des données sur la pénétration d’Internet au Québec, par région, par groupe d’âge, etc. Mais j’ai surtout voulu me concentrer à former ces entrepreneurs et gestionnaires touristiques à bâtir eux-mêmes leurs campagnes Facebook et Google.

La plupart d’entre eux n’ont pas les budgets pour intéresser les grandes agences de renom, alors peine perdu de leur dire qu’il faut être sur le web (quoique …). Leur intérêt est plutôt axé sur le COMMENT.

Bien entendu, 1 heure n’est pas suffisant pour maîtriser tous les rudiments de ces deux sites, mais suffisant pour leur faire réaliser qu’il n’est pas si difficile de lancer une campagne sur le web.

Cette conférence était donnée dans le cadre du lancement officiel de la saison touristique 2009-2010 de Tourisme Suroît.

Pour ceux qui étaient présent, voici la copie de la présentation. Pour ceux qui ne l’étaient pas, et bien .. faut m’engager car cette copie ne vous sera pas très utile car l’essentiel était dans le discours. Mais peut-être vous y retrouverez des éléments intéressants.

imagePour le lancement officiel de la saison touristique 2009-2010 de Tourisme Suroît , je donnerai demain une conférence auprès de plusieurs acteurs de région.

Courte présence (1 heure), mais mon objectif, outre celui de leur faire réaliser le potentiel de publicité Internet,  est de former ces entrepreneurs et gestionnaires touristiques à bâtir eux-mêmes leurs campagnes Facebook et Google. Bien entendu, 1 heure n’est pas suffisant pour maîtriser tous les rudiments de ces deux sites, mais suffisant pour leur faire réaliser qu’il n’est pas si difficile de lancer une campagne sur le web.

Voici un aperçu des sujets qui seront abordés:

eyetracking Radio-CanadaVous serez peut-être surpris d’apprendre.que la majorité des internautes ne sont pas exposées à vos  publicités Internet. Et pourtant, vous payez tout de même pour ces publicités ? C’est du moins la conclusion d’une étude conduite par MarketingSherpa. Pour ceux qui sont moins familiers avec la publicité Internet, la méthode d’achat la plus répendue est l’achat d’impressions publicitaires. Vous avez un budget, le coût moyen par mille impressions tourne autour de 25$ et vous faites une règle de trois qui vous donne un volume d’impressions, soit le nombre de fois que votre publicité s’affichera dans un environnement donné pendant une période prédéterminée par vous. Vous contrôlez l’environnement, mais souvent vous ne pensez pas au positionnement de la publicité sur la page ou n’avez dans certains cas aucun contrôle.

Plusieurs personnes me demandent de leur expliquer le principe des enchères Google. Voici un vidéo qui simplifie bien ce processus. Vous comprendrez que l’animateur est l’Éconimiste en Chef de Google et qu’il est rare qu’un économiste soit des plus divertissant Laissez-moi savoir si vous êtes maintenant plus à l’aise avec le principe et si ce vidéo vous fut utile.

C’est déjà vendredi ! Et comme à chaque vendredi, voici le Espresso Allongé, la pause détente qui saura vous divertir, vous fera peut-être découvrir certaines nouveautés ou vous rappeler quelques souvenirs.

Cette semaine, l’inspiration provient de Mike Nguyen, un lecteur et ami qui nous partage un lien sur la créativité média. Voici donc 10 publicités guerilla créatives.

 

‘Real Hip Hop’ Bus Stop Ad

‘Real Hip Hop’ Bus Stop Ad

source: http://weburbanist.com/2009/03/15/in-your-face-10-intense-public-guerrilla-marketing-posters/

 

Qu’on en dise ce que l’on veut, que ça soit écrit ou non dans les règles et modalités normalisées du IAB, la responsabilité des éditeurs qui affichent des créatifs publicitaires ne devrait pas seulement de s’assurer que la bannière client s’affiche correctement au bon endroit selon l’entente contractuelle, mais devrait aussi de s’assurer que la bannière soit bel et bien cliquable et qu’elle redirige bien au site client !

J’en reviens pas qu’en 2009 des éditeurs puissent encore mettre des campagnes en ligne sans tester si le produit fonctionne à 100%. Je vis un cas similaire ce matin (encore une fois) et dois vous avouer que ça m’en donne des maux de tête.

C’est déjà vendredi ! Et comme à chaque vendredi, voici le Espresso Allongé, la pause détente qui saura vous divertir, vous fera peut-être découvrir certaines nouveautés ou vous rappeler quelques souvenirs.

Cette semaine, l'inspiration provient de mon récent voyage d'affaires où j'ai presque perdu mon passeport à l'aéroport de Miami. Je dois vous avouer que j'ai vécu un très grand stress, mais semble-t-il que d'autres sont plus sensibles que moi (voir vidéo) !

imageCe matin, je désire vous partager  un article d’Infopresse qui a attiré mon attention. En fait, ce sont les propos de Martin Ouellette, président et directeur de création de Provokat, qui m’ont particulièrement intéressés. J’adore le franc parlé de Martin et surtout son esprit critique. Bref, en voici un abrégé, mais vous pouvez voir l’article complet ici. “A priori, les bannières ne sont pas mon fort. Je les trouve ennuyantes, bruyantes et elles sont trop souvent de bêtes interprétations de publicités imprimées. C'est l'une des raisons qui font que j'ai un bloqueur de bannières sur mon fureteur. Je sais, je sais, c'est pas gentil, ni très professionnel. Bien que ça m'oblige à remarquer et à concevoir des communications commerciales loin de ce format, qui perd de mois en mois davantage de son efficacité.” Martin Ouellette a aussi rappelé six fondements de la pub en ligne, que je vous suggère fortement de retenir dans vos prochaines campagnes en ligne: