C’est le 15 mai dernier, dans le décor unique du Monument-National, que l’APCM a procédé au dévoilement officiel des lauréats du concours STRAT. La troisième édition du concours STRAT a récompensé les cinq équipes de stratèges dont les programmes de communication-marketing s’étaient le plus démarqués, dans les cinq catégories du concours, soit : Audace, Créativité, Innovation, Impact et Efficience. ESPRESSO INTERACTIF REMPORTE SON PREMIER PRIX L'équipe de l'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal, Cartier Communication et Espresso Interactif a obtenu le prix Efficience pour la campagne promotionnelle de soutien au recrutement de personnel "Mille défis à l'heure!"

olive-media C’est par voie de communiqué qu’Olive Média annonce sa dernière acquisition, soit celle de de l'entreprise montréalaise Rosebud Media. Le communiqué nous indique que grâce à cette acquisition, Olive Média rejoindra dorénavant plus de 3,4 millions de visiteurs uniques francophones et plus de 15.3 millions dans tout le Canada. BONNE OU MAUVAISE NOUVELLE POUR L’INDUSTRIE ?

J’en reviens pas qu’en 2009 je doive encore expliquer l’importance, voire la nécessité, d’être présent dans les moteurs de recherche. Ce qui est amusant là-dedans, c’est que je ne vends pas ces services. Moi ce sont les liens commerciaux qui m’intéressent, ce qui s’achète.

Mon rôle de conseiller Internet m’oblige par contre à vous faire comprendre l’importance d’être NATURELLEMENT bien positionné dans les moteurs de recherche. C’est ce qu’on appelle le référencement, le positionnement organique, le SEO, etc.

Les moteurs de recherche, c’est la base de l’utilisation d’Internet. Ce sont les pages jaunes du monde traditionnel.

Si vous n’y êtes pas, vous n’existez pas.

Certaines entreprises me répondent:  “bien on est là, on a des visites provenant de Google

Ma réponse à cela: il ne s’agit pas d’y être, il s’agit d’y être stratégiquement bien positionné

eyetracking-googleJ’adore lire le journal Les Affaires, surtout quand les journalistes parlent d’Internet (rire), mais je déteste quand des inexactitudes se glissent dans les textes.

Je suis tombé ce matin sur un intéressant article de Olivier Schmouker. Le sujet: Comment sont vues les pubs sur Google ?

Rien de nouveau pour les spécialistes en publicité Internet, mais on y apprend essentiellement que selon une des diverses études d’oculométrie (eye tracking) sur le sujet, les liens commerciaux Google soit moins regardés que les résultats naturels.

Il y a plusieurs subtilités à l’étude, je vous invite à consulter les résultats complets de Miratech ou encore cette autre étude plus connue conduite en 2005

INEXACTITUDES DE L’ARTICLE

Que ce soit les conclusions du journaliste ou de Miratech (je ne suis pas certain),  il est faux de croire que les annonceurs payent plus cher pour occuper la première place de la liste.

La réalité est qu’il est fort possible que l’annonceur se retrouvant en première position paye moins cher que celui en 2e et 3e position.

imageUn billet déniché sur le blogue de Touché!PHD qui traite de la pertinence de la récente initiative payante de La Presse, soit de rendre le journal disponible en version électronique. De mon côté, je n’y vois aucune valeur ajoutée autre que la mobilité du journal et la possibilité d’acheter une copie d’archives. Mais bon, peut-êtr e que LaPresse connaîtra un sort différent que celui du défunt Journaldemontreal.com qui avait déjà fait une tentative il y a quelques années mais avait finalement fermé le site. Ce que je me pose comme question est si ce nouveau mode de distribution fut adopté par pression des lecteurs/abonnés. Et vous, qu’en pensez-vous de tout ça ?

Deux questions que je me pose depuis très longtemps:
  1. Pourquoi les éditeurs refusent de dévoiler le nombre d’impressions publicitaires livrées dans une campagne basée au coût par clic ?
  2. Pourquoi ne veulent-ils pas que cette publicité au coût par clic soit livrée par un serveur publicitaire client ?
Je n’arrive pas à comprendre. Lorsque je pose la question aux éditeurs, la réponse reste toujours évasive. Je commence sérieusement à penser qu’ils ont quelque chose à cacher.