Merci à Saber Triki de MBA Recherche pour la référence.
J’en reviens pas qu’en 2009 je doive encore expliquer l’importance, voire la nécessité, d’être présent dans les moteurs de recherche. Ce qui est amusant là-dedans, c’est que je ne vends pas ces services. Moi ce sont les liens commerciaux qui m’intéressent, ce qui s’achète.
Mon rôle de conseiller Internet m’oblige par contre à vous faire comprendre l’importance d’être NATURELLEMENT bien positionné dans les moteurs de recherche. C’est ce qu’on appelle le référencement, le positionnement organique, le SEO, etc.
Les moteurs de recherche, c’est la base de l’utilisation d’Internet. Ce sont les pages jaunes du monde traditionnel.
Si vous n’y êtes pas, vous n’existez pas.
Certaines entreprises me répondent: “bien on est là, on a des visites provenant de Google”
Ma réponse à cela: il ne s’agit pas d’y être, il s’agit d’y être stratégiquement bien positionné
J’adore lire le journal Les Affaires, surtout quand les journalistes parlent d’Internet (rire), mais je déteste quand des inexactitudes se glissent dans les textes.
Je suis tombé ce matin sur un intéressant article de Olivier Schmouker. Le sujet: Comment sont vues les pubs sur Google ?
Rien de nouveau pour les spécialistes en publicité Internet, mais on y apprend essentiellement que selon une des diverses études d’oculométrie (eye tracking) sur le sujet, les liens commerciaux Google soit moins regardés que les résultats naturels.
Il y a plusieurs subtilités à l’étude, je vous invite à consulter les résultats complets de Miratech ou encore cette autre étude plus connue conduite en 2005
INEXACTITUDES DE L’ARTICLE
Que ce soit les conclusions du journaliste ou de Miratech (je ne suis pas certain), il est faux de croire que les annonceurs payent plus cher pour occuper la première place de la liste.
La réalité est qu’il est fort possible que l’annonceur se retrouvant en première position paye moins cher que celui en 2e et 3e position.
Une cliente comScore et fidèle lectrice m’a récemment partagé ce communiqué interne de la part de comScore. J’essai de décoder le mieux possible le charabia technique, mais en gros comScore annonce qu’il améliorera son échantillon francophone très prochainement.
Ce que les éditeurs / agences reprochent à comScore (depuis très longtemps) sur les données des sites francophones:
Enfin une alternative canadienne à comScore ! Dans un communiqué diffusé le 27 avril, Hitwise a annoncé son plan d'attaquer le marché canadien, un marché uniquement déservi par comScore Mediametrix depuis plusieurs années.
Hitwise mesurera le trafic de 85 000 sites Web canadiens appartenant à plus 160 domaines d'activités.